"Entrez au cœur des territoires, c'est là que l'eau se révèle. Dans ses pleins et ses déliés, elle raconte l'histoire des hommes, des histoires de vie, et parfois même l'histoire d'une vie. C'est là au cœur des territoires que vibre le lien entre l'Homme et la nature. La molécule du scientifique, le fluide de l'aménageur est aussi la rivière d'une enfance, le marais d'une légende, l'eau souterraine qui court, donne à boire à un village et aux racines d'une vigne."

"De l'eau dans les mains" de Laurent Roy

L’Association pour la Défense des Usagers de l’Eau à Salernes, a été créée en 2013, pour regrouper les citoyens soucieux de la gestion présente et future de l’eau à Salernes.

 Les principaux objectifs de l’association sont d’exercer une vigilance concernant :

• la ressource en eau de Saint-Barthélemy, qui a été cédée au Syndicat Intercommunal du Haut Verdon en ……..,
• sa distribution et son assainissement qui en 2012, a ont été reconduits par la municipalité en Délégation de Service Public pour 12 ans à l’entreprise SEERC-SUEZ.
• les factures et les droits des usagers,
• la représentation des citoyens à la Mairie de Salernes.

Elle se tient au courant de toutes les décisions législatives et participe à un réseau national pour œuvrer à une distribution abordable et équitable de l'eau dans chaque foyer.

Elle est membre du Comité de l’Eau, créé par la Municipalité, pour être informée des choix des Elus de la commune et donc, des obligations du délégataire.

Sur le marché du dimanche et du mercredi, elle a organisé un stand et invité à signer une pétition visant à faire respecter les lois et à inciter le Conseil Municipal à négocier une diminution du prix de l’eau, en faveur des usagers.

L' A.D.U.E.S. soutient que « l’eau, c’est la vie », qu'il appartient aux citoyens salernois de surveiller sa gestion, par intérêt personnel, mais aussi de participer collectivement à la préservation d'une ressource indispensable à l'humanité.

ADUES au marché de dimanche à Salernes

 Marie-Pierre Delavaud, Jean-Luc Bories et Jean Bernard Almela

 Marie-Pierre Delavaud